Maladie de lyme ou boréliose- co infections

La maladie de lyme ou ces co infections dans leur forme chronique  sont très peu connue ce jour par la médecine officielle. Il y a aucun test fiable pour déceler les co-infections de lyme ni les forme de lyme chronique qui souvent date depuis plusieurs années et confondue avec d'autres pathologies, souvent auto immunes, polyarthrite, sclérose en plaques, fibromyalgie, lupus etc. Des symptômes allant de la fatigue chronique au troubles du sommeil au soucis digestifs chroniques à des douleurs migrantes, douleurs cardiaques, mal de tête peuvent cacher une infection à tic, plus de 800 symptômes sont recensés.

Les patients souffrent d’une myriade de troubles inflammatoires, neurologiques, musculaires, cutanés, articulaires qui laissent les médecins démunis et parfois septiques.   

En suisse il y a environ 30 % de chance d'être infectés lors d'une simple piqure de tique ce qui est énorme.

https://www.youtube.com/watch?v=2V5g17Optf0&list=PLRKQlc-brX4AxsGPsjhtDbZhexhfp35es

 

https://www.youtube.com/watch?v=YhHjFO4KVDk

 

https://www.youtube.com/watch?v=08OT6dl1z28

 

Cette maladie a envahi toute la planète et est actuellement la plus grande pandémie en Europe mais en partie occultée par méconnaissance et déni de nos gouvernements à faire évoluer les tests d'analyse et les traitements.

 

 

Le test actuel date de 1982  détecte uniquement une souche de borelia burgdorferi B31 alors qu'il existe plus de 800 souches différentes, sans compter les parasites et virus transmis pas une simple piqure de tic.  On l’a recensé sur tous les continents, y compris l’Antarctique. Toute l’Europe est aujourd’hui concernée. Borrelia afzeli et gariniii est plus répandue dans le nord de l’Europe, B. burgdorferi en Europe occidentale, B. lusitaniae dans le bassin méditerranée. Le B. spielmanii s’est répandue en Allemagne, en France, aux Pays Bas, en Slovénie, Hongrie, Ukraine et d’autres états, alors que la B. valazisiana sévit au Royaume-Uni ainsi que dans de nombreux autres pays européens.

 

Les patients sont souvent co-infectés par d’autres bactéries, parasites et virus. C’est, entre autres, une explication de l’inefficacité des traitements spécifiques. Les co-infections les plus courantes recèlent des micro-organismes tels que Bartonella (maladie de la griffe du chat), mycoplasmes, chlamydias, ehrlichia, lanaplasma, des infections à rickettsie ou des organismes parasitaires tels que babesia voir des virus coxackies A B.. Si ces co-infections ne sont pas correctement diagnostiquées et traitées, les patients restent malades de manière chronique toute leur vie sans comprendre ce qui lui  arrive.. Comme peut de praticiens feront le lien avec des infections par faute de test fiable,, le patient se verra prescrire des anti dépresseur qui feront qu'empirer son état de  santé....la médecine utilise uniquement des antibiotiques pour traiter un stade 1 avec apparition d'une rougeur sur la peau..le stade 3 n'est pas connu est les traitements  encore moins. Dans bien des cas, il n y a aucune rougeur et ont peut pas s'apercevoir de s'être fait piqué. Les borelies sont nommé le grand imitateur et crée des douleurs migrantes. Il peuvent se cacher en intracellulaire et échapper aux traitements ou créée des kystes ou biofilms pour se protéger du système immunitaire et peut vire cacher des dizaines d'années. La borélies changent leur antigène en permanence. Une antibiothérapie de 3 semaines ou même 2 mois n'a que peu d'effet d'éteindre le foyer infectieux. la plupart des gens ayant été piqué se retrouve sournoisement sans le savoir porteur de bactérie ou co infections de lyme à vie. Il faut savoir que les borelies ont un tropisme pour les organes et crée des protéines de surface qui mime les tissus d'un organe et échappe ainsi aux lymphocytes du système immunitaire qui tenterait de le capter.

 

Dans le cadre d'une prise en charge à l'aide d'une enquête de bilan naturel, nous établirons si  il y a suspicion  d'atteinte à notre terrain biologique et trouverons des solutions naturelles.